Un tweet anonyme qui a pesé aussi lourd qu’une fusée
ÉCRIT PAR : RADIO SISKO FM
Dans un monde où les décisions géopolitiques se jouent parfois à coups de posts impulsifs, un utilisateur presque inconnu a réussi l’impensable, calmer une tempête médiatique entre deux géants – Donald Trump et Elon Musk – et éviter un désastre pour le programme spatial américain.
Tout commence sur X (ex-Twitter), lorsque Donald Trump menace publiquement de retirer le financement public accordé à SpaceX, l’entreprise d’Elon Musk, accusée par l’ancien président de bénéficier d’un “traitement de faveur”. La réaction de Musk ne se fait pas attendre, il annonce envisager la mise hors service des capsules Dragon, vaisseaux essentiels aux missions de ravitaillement de la Station spatiale internationale (ISS).
La décision de Musk, prise dans l’émotion, fait trembler les rangs de la NASA et ébranle l’équilibre déjà précaire du programme spatial américain. Le risque ? Un gel total des opérations habitées, avec des conséquences directes sur les astronautes actuellement à bord de l’ISS. En coulisse, c’est la panique.
Mais alors que les projecteurs sont braqués sur ce clash de titans, un message calme et mesuré émerge, posté par @Fab25june, un utilisateur lambda de la plateforme X, suivi à ce moment-là par seulement 184 abonnés. Sa phrase, simple mais percutante :
"C'est dommage, ces allers-retours. Vous valez mieux que ça. Calmez-vous et prenez du recul pendant quelques jours."
Contre toute attente, Elon Musk lui répond en personne, dans un rare moment de recul :
"Bon conseil. D'accord, nous ne désaffecterons pas Dragon."
Immédiatement la crise est évitée. La NASA peut respirer. Et l’utilisateur inconnu devient l’artisan inattendu d’un apaisement historique.
En quelques heures, @Fab25june passe de l’anonymat à plus de 9 000 abonnés, salué comme le “pacificateur accidentel du siècle”.
Cet épisode illustre à quel point les réseaux sociaux ne sont plus de simples plateformes de discussion, mais de véritables terrains d’influence politique et stratégique. Un simple tweet, publié au bon moment, peut infléchir le cours d’une crise internationale. À l’ère du numérique, le pouvoir n’est plus seulement entre les mains des puissants, mais aussi entre celles de ceux qui savent parler juste.
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