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Les tensions au Moyen-Orient continuent de croître, avec une situation particulièrement volatile en Cisjordanie, où des colons israéliens armés, encouragés par un assouplissement des règles sur le port d'armes, mènent des représailles dans les villages palestiniens voisins.
Face à cette montée des violences, la France a pris des mesures en sanctionnant 28 colons extrémistes.
Parallèlement, la présence du Hamas en Cisjordanie, ainsi que le soutien populaire dont il bénéficie, alimente les inquiétudes.
Cependant, les déploiements militaires israéliens et les restrictions de circulation ont jusqu'à présent contenu une éruption majeure de violence.
Sur le front nord-est, les échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël sont devenus quotidiens.
Le Hezbollah, bien qu'encouragé par son allié iranien à ne pas s'engager dans un conflit direct, pourrait réagir davantage face aux provocations israéliennes.
La situation au sud est également préoccupante avec les attaques des Houthis, soutenus par l'Iran, contre des cibles israéliennes et alliées en mer Rouge.
Ces actions ont déjà provoqué une augmentation des coûts de transport maritime, affectant les économies européennes et méditerranéennes.
La France, qui déploie des efforts diplomatiques pour désamorcer ces tensions, a choisi d'adopter une position défensive en mer Rouge, tout en évitant de frapper des cibles au Yémen.
Sur le plan économique, elle s'inquiète également des effets de cette crise sur des pays voisins comme l'Égypte, la Jordanie et le Liban, déjà fragilisés par des crises internes.
Enfin, la France, en collaboration avec le Groupe des Cinq, continue de travailler à la résolution de la crise politique au Liban, tout en tentant de freiner une éventuelle escalade entre Israël et le Hezbollah.
Un plan de désescalade en trois étapes a été proposé pour tenter de contenir la situation.
Tensions croissantes en Cisjordanie entre colons israéliens et Palestiniens. © Radio Sisko FM, illustration générée par IA.
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